Chaque histoire est différente et la mienne n'est pas une exception à la règle et pourtant, il est difficile pour moi de raconter ma vie. Pourquoi ? Par ce que j'ai l'impression qu'une partie de moi-même ne se souvient plus très bien. Je ne suis pas amnésique mais, une petite voix au fond de moi m'interpelle et me fait pensé que je ne connais pas la vérité. Dois je la croire ? Je ne sais pas vraiment...
NAISSANCE ET ENFANCE
Matoaka est née à Fantasia en 1986. A la suite d'une terrible maladie sa mère décéda et son père, le maire de la ville prit le relais. Après des débuts plutôt difficile, il prit rapidement le plie et apporta tout son amour à cette petite fille. Lorsqu'ils allaient se promener, les gens avaient l'habitude de dire que Matoaka était souriante et plein de vie. C'était un bébé qui respirait la joie de vivre et le bonheur pour le plus grand plaisir de son père.
Mais, les enfants grandissent vite et son père se retrouva rapidement devant les grilles de l'école maternelle.
- " C'est ton premier jour aujourd'hui Matoaka, j'espère que ça se passera bien et que tu te feras beaucoup d'amis !"Après quoi la petite se lança joyeusement dans la grande cours de l'école et prit place dans les rangs de sa classe. Matoaka aimait se rendre à l'école, elle y apprenait beaucoup de chose mais, il avait une ombre à son tableau. On ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait des amis. La petite lors des récréations avait l'habitude de s'isoler dans un coin de verdure et elle parlait au créature qui était présente. Elle écoutait le vent chanter dans les arbres, aimait rester sous la pluie quand l'orage grondait. Elle était si différente, que les élèves l'éviter avec soin.
Et pourtant à la suite de sa rentrée dans une classe supérieurs, elle fit la rencontre d'une curieuse jeune fille. Par chance les d'amies continua à se suivre et elles firent les quatre cents coups ensemble au grand dame des professeurs qui n'arrivaient plus à les suivre.
ADOLESCENCE
L'adolescence de Matoaka se passera comme celle de toute jeune femme, avec des questions au quelle un père aurait du mal à répondre. Matoaka connu les changements de son corps que se soit physiquement mais, aussi hormonal. Par chance, elle était toujours très complice avec sa meilleure amie rencontré à la primaire et les deux jeunes femmes pouvaient échanger sur tout se qui changeait en elle.
Cependant, Matoaka garda en elle l'espièglerie qu'on lui avait connu lors de son enfance. Et elle continuait à faire beaucoup de farce mais, aussi à s'amuser comme une enfant.
- "Matoa !! Tu n'as pas fini de jouer les enfants ? Arrête donc de m'arroser !! aaaaah !!"- " Ne soit pas si sérieuse !"Ce fût également le temps des premières rencontre amoureuse. Matoaka il fallait bien le dire était une jeune femme très belle, elle attirait souvent les regard des garçons et en général la plus part voulait l'inviter en dehors du lycée. Mais, bizarrement la jeune fille n'eut jamais le coup de foudre pour l'un d'eux. Au fond d'elle, elle savait que quelque part son prince charmant l'attendait et elle ne voulait en aucun cas offrir quoi que ce soit aux autres hommes.
LE TEMPS DU DEPART
Chaque parents redoutent ce moment, celui de voir ses enfants prendre leurs envole et partir de la maison. Matoaka après des études de bijoutier, prit la lourde décision de partir de la maison familial.
Après un au revoir plein d'émotion à son père et sa meilleure amie, Matoaka monta dans le taxi jaune. Le coeur lourd, elle jeta un dernier regard à la maison qui l'avait vu grandir, à cet homme qui avait prit soin d'elle et à cette femme qui avait grandit à ses côtés. Elle savait qu'elle allait les revoir mais, plus aussi souvent qu'avant. Son père s'approcha de la fenêtre du taxi jaune.
- "Prend soin de toi...Ma Pocahontas...Et je viendrais te voir dans ton appartement !"Il s'éloigna le pas lourd et triste, c'était le petit surnom qui lui avait donné de part sa nature espiègle et qui signifié "petite espiègle". Matoaka aimait se surnom, c'était celui qui l'unissait à son père et à ses racines. Après un signe de la main, Matoaka s'avança vers le siège du chauffeur et donna l'adresse. Elle ne partait pas si loin mais, le fait de vivre sa vie dans un appartement loin du quartier de son père, l'a rendait triste.