Un jour, un grand roi m'a dit : "Nous sommes un". Je n'étais pas apte à comprendre, maintenant je le suis + Kiara

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la terre des lions...





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J’ai vécu les premières années de ma vie dans un Orphelinat, ce que je sais de mes origines c’est le fait que je sois née à fantasia, mais je ne connais pas mes parents biologiques. Il faisait particulièrement chaud ce soir-là lorsque l’une des sache-femmes de cette orphelinat m’a trouvé au pied de la porte d’entrer, je me trouvais dans un petit berceau, tous ce que j’ai de ma vrai mère c’est seulement une lettre m’expliquant pourquoi elle avait fait ce choix ainsi qu’une photo d’elle. Ma mère avait seulement 15 ans lorsqu’elle m’a abandonnée, elle avait été renié par sa famille lorsqu’ils ont appris qu’elle était enceinte de moi.

À vrai dire je ne m’en sors pas plus mal, j’ai tout de même été très heureuse durant ces années à vivre dans cet Orphelinat, c’est là que j’ai rencontrer un garçon qui avait à peu près mon âge. Kovu n’a pas connu ses parents, son père est mort avant sa naissance et sa mère est morte quelque mois plus tard de maladie. J’avoue que mon amitié avec Kovu a surpris beaucoup de gens, petite j’ai toujours été quelque peu insupportable, non pas que j’étais une vrai petite peste, mais j’avais un fort tempérament et puis j’étais une petite fille très espiègle et curieuse, je pouvais me faufiler où je voulais, malgré l’interdiction de celle qui s’occupait de moi.




Puis un jour, le cauchemar que je redoutais arriva alors qu’un couple d’âge mur viennent à l’orphelinat, ils avaient déjà un enfant et ils ne pouvaient plus en ravoir, évidement c’est moi qu’ils choisirent. Au début ça n’a pas été difficile, être séparer aussi brusquement de Kovu qui était devenu mon meilleur ami, j’avais seulement 10 ans lorsque je quitte cet endroit pour une belle et jolie petite maison, une famille d’accueil si ont veut, les débuts ont été difficile car je passait à des cours privé à l’orphelinat pour une école public, je ne connaissais personne et j’avais du mal à me refaire vite un petit cercle d’amis.

La première années je ne posais pas trop de question, mes parents adoptifs se montraient patient et voulait m’aidée à ce que je me sens chez moi dans cette maison. Au lycée, je n’ai jamais été vraiment une adolescente qui suivait la mode, j’étais surtout considéré comme un garçon manquer qui avait du mal à sociabiliser et si une fille me faisait la vie dur, je la remettais à sa place, je n’avais pas peur d’agir avec les poings plutôt qu’avec la paroles. Puis tout à coup, je crois que j’aurais pu bien mourir sur place lorsque j’entend parler d’une nouvel élève qui intégrait le lycée, mais lorsque je reconnu les traits de mon meilleur ami d’enfance Kovu, j’avais du mal à tenir en place. Très vite j’ai constaté que lui aussi avait eu le droit à sa chance grâce à une famille qui le prit en adoption, qu’il habitait près de chez moi, mais le voir aussi changé, aussi charmant, aussi craquant et surtout j’avais l’impression qu’il était lui aussi pas vraiment sociable et surtout qu’il était un Badboy.

Je n’ai jamais vraiment oser lui avoué ce que je ressentais car oui moi je n’avais pas peur de mes émotions, je ne connaissais rien en l’amour car je n’ai pas vécu. Ce que je sais c’est que je ressens plus que de la simple et forte amitié à son égard, mais j’ignore comment tous lui avoué, j’ai surtout peur qu’il ne partage pas mes sentiments et qu’il me rejette et puis je suis très jalouse des autres filles qui ne ce gène pas pour le draguer et l’approcher.